mercredi 28 octobre 2009

Chacun son Rost, chacun son chemin



Vous ne le saviez peut-être pas, mais ce weekend était le deuxième rendez-vous du Rock on kikoo tour. Après l'échec du premier opus à Amneville, le second s'est déroulé dans la merveilleuse station des D€ux Alpe$, qui cette année en avait rien à foutre du mondial et a laissé gérer le bordel par Like That.
Toute l'équipe de tsj y était, bouche ouverte prêts à sucer du snowboarder professionnel et je peux vous dire qu'on a pas été des raclos de la salive.
Alors, comme d'hab avec le mondial, chaque personne présente a un avis différent sur à peu près tout. Et pour cause, entre les gens qui payent pas un seul verre au smithy's et qui rentrent gratos à l'avalanche et ceux qui allongent 15€ pour une pauvre conso et marcher sur un tapis de verre pour se faire vider 10 minutes plus tard par les connards bas du front, il y a tout un monde, que dis-je, un éventail de possibles.
Sans parler de la journée, où il valait mieux apprécier les boites en plastique que les grosses bosses en neige. Et bien sûr, il y a ceux qui font les contests de merde, ceux qui ont des grosses parts vidéos, ceux qui font la ride en basket
Bref, du coup, même nous on a 3 versions différentes du weekend, alors en fait, on s'en tape. L'important c'est quand même de retenir que pour une fois, on a enfin un évènement sain, ouvert vers le grand public avec l'idée de communiquer le snowboard dans les couches populaires et de répandre l'amour de la ride chez un peu tout le monde.

Tout commença vendredi soir avec la magnifique soirée SNOWsnurf/Kadeux cent pour cent rock and roll. C'est dans un Smithy's au maximum de sa capacité d'accueil que nous avons eût la joie de regarder l'avant-seconde de la Celebrities or not.
Heu en fait on sait pas si c'est l'excitation ou les bières coupées à l'eau mais la vidéo dure genre 10 minutes, générique de fin inclus.
Pour le contenu on ne saurait dire grand-chose mis à part que la station de ski de Vars s'est fait une sacré pub dans ce court métrage. Mais vous saurez nous excuser, il n'est pas évident de donner du plaisir avec sa gorge en gardant les yeux ouverts...
Bref, tout le monde prend la direction du night club le plus proche avec pour les suceurs les moins habiles le droit de payer l'entrée.
A l'intérieur c'est soirée luxe, le Mouette & Champion a coulé à flot sur le sol de dance (Papagayo-for-life) et les déhanchements sur beats étaient de fort bonne qualité.
Néanmoins, petite frustration, apparemment les filles de la montagne ne baisent pas le vendredi soir, on ne comprends pas pourquoi…
Après quelques minutes de sommeil intensif, rendez-vous devant les caisses pour attendre quelques heures avant que le vent décide de se calmer. C'est le moment où une journée de la ride se transforme en 3h à choper des pioches le plus rapidement possible. Mais bon pas d'embrouilles, ils sont réglos chez Deux Alpes Loisir, notre patience et notre amour pour les sports de l'extrême nous ont permis d'obtenir une réduction de 2,5€ sur le forfait, une aubaine…
Bref, le point d'orgue de cette orgie était sûrement la soirée des Awards, qui acclamait les grands vainqueurs de l'exposition médiatique la plus importante dans les magazines papiers et internet. Et à ce jeu là c'est Caro Béliard qui gagne avec sa jolie chemise, il y avait aussi Arthur Longo sans maman, Alicia Bonnaud et Olivier Gittler (on a d'ailleurs entendu quelqu'un dire très distinctement Olivier Hitler...), enfin on dit ça, mais en fait on y est même pas allé parce qu'on est complètement en vrac, mais il parait que c'était relou.
La soirée rock du samedi soir, s'est surtout déroulée dehors, tellement moisi à l'interieur que la soirée s'est passée sur la route encerclée par les moustachus en faux cuirs et veste en jeans H&M.
Puis l'avalanche, puis le néant.
Souvenirs d’une bouteille qui tourne, de l’avalanche de personne devant la boite de nuit et de fellations qui nous ont conduit à outrepasser la queue.
C'est un peu le trou, mais en se réveillant le lendemain matin, estomac vide, on se que finalement les filles de la montagne baisent pas non plus le samedi, et en fait de tout le weekend.
Pour ce qui est de la ride, on a trouvé ça tout à fait honnête. Le fait que le glacier soit ouvert toute la journée, en plus de stimuler l’économie des paninis de haute altitude, a su attiser notre faim de snowboard.
Alors oui, il y a des tests et des activités pour les grands et les petits, mais bon, comme d'hab, le mondial ROST c'est surtout de la bonne masturbation du milieu très jet-setteux de la snowplanche française.
Au niveau des contests, un homme portant des dreadlocks a gagné une guitare sur la guitare (le spot avait l’air fun, mais apparemment pas super exploitable vu qu'ils l'ont mis à l'envers) et un autre a gagné le concours de ollie avec tout pile un mètre de haut.
Dimanche, journée idéale pour surfer, quasi bluebird, pas de vent, neige toujours aussi fraiche.
L'évenement se termine, tout le monde se barre, la station redevient quasi fantôme.
Après toutes ces émotions il est temps de rentrer, c’est déjà la fin, snif, snouf.
On aurait bien voulu te dire "à l’année prochaine" petit ROST, mais bon apparemment samedi matin, t’as attrapé mal avec tout ce vent, alors soignes toi bien. Mouha-ha-ha-ha !

Il faut le signaler, on a piqué des images à Perly et à Google Images, merci à eux pour leur collaboration active.

1 commentaire:

  1. JE VEUX SAVOIR QUI ECRIT ET DIS DES CHOSES PAREILS.
    Parce que dire H**** c'est pas bien, en plus dire que les filles de montagnes font pas l'amour, c'est faux, la preuve ac vos pires ennemis et ...
    TSJ, c'est trop nul toute façon, moi, je comprends vraiment pas pourquoi vous etes tjs méchants, et pourquoi vous dites n'importe quoi.

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